1 l’autorité d’un chef d’Église et le pouvoir d’un chef d’État . Chacun sait qu’une Révolution copie toujours inconsciemment la struc

2 ste » est l’homme sans lendemain. 5 avril 1939 Ce chef d’État offre, dit-on, d’évacuer une île dont il s’est emparé, à condition qu

3 l’autorité d’un chef d’Église et le pouvoir d’un chef d’État . Chacun sait qu’une Révolution copie toujours inconsciemment la struc

4 l’autorité d’un chef d’Église et le pouvoir d’un chef d’État . Chacun sait qu’une Révolution copie toujours inconsciemment la struc

5 est l’homme sans lendemain. 5 avril 1939 Ce chef d’État offre, dit-on, d’évacuer une île dont il s’est emparé, à condition qu

6 faire quand même. Vous êtes accusé d’injures à un chef d’État étranger. Vous mettez en danger la sécurité de la Suisse. C’est grave

7 ttre en vigueur au jour J. 5 avril 1939 Ce chef d’État offre, dit-on, d’évacuer une île dont il s’est emparé, à condition qu

8 faire quand même. Vous êtes accusé d’injures à un chef d’État étranger. Vous mettez en danger la sécurité de la Suisse. C’est grave

9 ux qu’elle, ce n’est pas en apprenti mais bien en chef d’État qu’il s’en va discourir devant les grands seigneurs du capitalisme ya

10 ces chambres réunies, combine les attributs d’un chef d’État à sept têtes et d’un cabinet de ministres ; on ne peut choisir plus d

11 le faire quand même. Vous êtes accusé d’injures à chef d’État étranger. Vous mettez en danger la sécurité de la Suisse. C’est grave

12 un officier neutre n’a pas le droit d’outrager un chef d’État étranger ! De Suisse, Denis de Rougemont est envoyé en Amérique où il

13 droit absolu qui reste alors entre les mains d’un chef d’État , c’est celui de refuser l’abandon d’une fiction : la souveraineté abs

14 les manifestations officielles. Il n’agit plus en chef d’État , mais en chargé d’affaires presque anonyme, négociant avec les divers

15 gouvernement ou selon les allergies de tel ou tel chef d’État . Contre ces passions-là, nul argument ne vaut et je perdrais mon temp

16 selon les craintes traditionnelles de tel ou tel chef d’État . Contre ces passions-là, nul argument ne vaut et je perdrais mon tem

17 réalités, mais selon la volonté de puissance d’un chef d’État , d’un parti au pouvoir. Or, le but principal d’une région, contrairem

18 qu’on adule aujourd’hui dans tous les ordres, du chef d’État au cycliste imbattable en passant par le grand physicien et le monstr

19 exigeant les bijoux de la couronne, la tête d’un chef d’État ou autrement c’est Manhattan, Moscou, Paris rasés dans l’heure… Quelq

20 réalités, mais selon la volonté de puissance d’un chef d’État , d’un parti au pouvoir. Or, le but principal d’une région, contrairem

21 des années 1900 à 1914 — pendant lesquelles notre chef d’État faisait ses classes — définissaient précisément l’Europe comme allant

22 exigeant les bijoux de la couronne, la tête d’un chef d’État ou autrement c’est Manhattan, Moscou, Paris rasés dans l’heure… Quelq

23 l’Europe repose entièrement entre les mains d’un chef d’État qui, pour favorable qu’il puisse être aux vues occidentales, n’est pa

24 le salut de l’Europe repose entre les mains d’un chef d’État américain », nous voilà condamnés à inventer un avenir différent, dan

25 l’entrée d’Hitler à Paris, qualifié d’« insulte à chef d’État étranger ». Après quoi l’on va m’expédier en mission de conférences a

26 jours de forteresse, au secret, pour « insulte à chef d’État étranger mettant ainsi en danger la sécurité de la Suisse ». Cet arti

27 à Paris, et qui a été considéré comme « insulte à chef d’État étranger », donc mettant en danger la sécurité de la Suisse. Cette ac

28 is en danger la sécurité du pays pour « insulte à chef d’État étranger », fut condamné à 15 jours de forteresse. La peine lui fut é

29 au, sans visites ni courrier », pour « insultes à chef d’État étranger risquant de mettre en danger la sécurité de la Suisse », com

30 donc dans une situation très particulière, moins chef d’État qu’arbitre. Il était un symbole vivant. Il garantissait dans sa perso